Histoire

Jésus historique

 

Sommaire

Les évangiles
• Pères apostoliques :
       ○ Clément de Rome
       ○ Ignace d'Antioche
       ○ Polycarpe de Smyrne
• Historiens antiques :
       ○ Thallus
       ○ Flavius Josèphe
       ○ Pline le Jeune
       ○ Tacite
       ○ Suétone
       ○ Celse
       ○ Mara bar Sérapion
       ○ Lucien de Samosate
Le Talmud
Encyclopédie Britannica/ Larousse
Secrets d'histoire
▯ National Geographic

Jésus historique



📜 Les évangiles

En matière de dates, les évangiles sont les textes les plus proches des actions de Jésus. Les historiens eux-mêmes les étudient et les citent. Cependant, les brandir pour étayer l'historicité de Jésus, attirerait rapidement la critique. Les détracteurs (si je puis dire) y verraient un parti-pris. Ces derniers n'aimeraient pas non plus entendre les récits des Pères apostoliques. Pourtant ces récits talonnent de très près les évangiles, et confirment leur circulation importante à cette époque. Le lecteur à le droit de le savoir. Donc je mettrai brièvement quelques-unes de leurs citations avant d'aborder les récits des historiens. Il est accepté que les évangiles relataient en leur temps, certains détails qui ont été confirmés par la suite, par quelques historiens sérieux.

 

Pères apostoliques


" que le sage ne se glorifie point de sa sagesse... ni le riche de sa richesse... " (13:1)

" révérons le Seigneur Jésus-Christ dont le sang a été donné pour nous " (21:6)

" dont Il nous a donné les prémices dans le Seigneur Jésus-Christ quand Il l'a ressuscité d'entre les morts " (24-1)

Épître de Clément de Rome | Codex Alexandrinus - plaque 7


❗ Epoque de Ponce Pilate et Hérode le tétrarque

" Il a souffert toutes ces choses pour nous; et Il les a souffertes réellement et non en apparence seulement, de même qu'Il est vraiment ressuscité "

Lettre d'Ignace d'Antioche (Ch.2.)


  • 🌐 Polycarpe de Smyrne (né vers 70 et mort [brûlé vif] en 155 ou en 167) était un disciple direct de l'apôtre Jean. Il croyait en l'existence de Jésus :

7 Quiconque, en effet, ne confesse pas que Jésus-Christ est venu dans la chair, est un antichrist; et celui qui ne confesse pas le témoignage de la Croix vient du diable ; et celui qui détourne les paroles du Seigneur selon ses propres désirs et ne reconnaît ni résurrection ni jugement, celui-là est premier-né de Satan. C'est pourquoi abandonnons la vanité des foules et les enseignements mensongers pour revenir à la parole qui nous a été transmise dès le commencement; restons sobres pour pouvoir prier, persévérons dans les jeûnes, supplions dans nos prières le Dieu qui voit tout de ne pas nous induire en tentation, car, le Seigneur l'a dit, l'esprit est prompt, mais la chair est faible.

Lettre de Polycarpe aux Philippiens (7)

Note: La Lettre de Polycarpe aux Philippiens met en évidence les citations des divers livres du Nouveau Testament et confirme qu'ils étaient déjà largement en circulation à son époque. (Voir ici)

 

Historiens antiques


  • 🌐 Thallus (Θάλλος) (Ier s. ap. J.-C. ?) est un historien de l’antiquité grecque.

Thallus a été lu et cité par divers auteurs chrétiens (par exemple, Julius africanus) comme témoin païen de l'historicité de Jésus-Christ.


« Vers le même temps vint Jésus, homme sage, si toutefois il faut l'appeler un homme. Car il était un faiseur de miracles et le maître des hommes qui reçoivent avec joie la vérité. Et il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Grecs. C'était le Christ. Et lorsque sur la dénonciation de nos premiers citoyens, Pilate l'eut condamné au crucifiement, ceux qui l'avaient d'abord chéri ne cessent pas de le faire, car il leur apparut trois jours après ressuscité, alors que les prophètes divins avaient annoncé cela et mille autres merveilles à son sujet. Et le groupe appelé d'après lui celui des Chrétiens n'a pas encore disparu. »

Flavius Josèphe - 🌐 Antiquités judaïques, 18, 63-64 - Testimonium flavianum

Il faut savoir que depuis le XVe siècle, des contestataires avancent l'hypothèse, que ce fameux passage (testimonium flavianum), aurait pu être retouché. La teneur de ce passage, appelé parfois « cinquième Évangile », les conduisent à émettre l'éventualité qu'un copiste (toujours dans l'antiquité), aurait pu insérer des ajouts d'origine chrétienne à ce passage, afin de l'accorder au dogme chrétien. Certes, cette hypothèse ne fait pas l'unanimité. Mais ce qui est intéressant, c'est que l'historicité de Jésus, n'est pas pour autant remise en cause. En effet, les adhérant de ce courant de pensée, reconnaissent l'homme Jésus, et sa condamnation au crucifiement par Pilate. Seules les parties qui concordent au message évangélique, sont soupçonnées d'être des ajouts. Les voici entre parenthèses (tirées d'un livre en 2006/2007) :

« « En ce temps-là paraît Jésus, un homme sage, [si toutefois il faut l'appeler un homme, car] ; c'était un faiseur de prodiges, un maître des gens qui recevaient avec joie la vérité. Il entraîna beaucoup de Judéens et aussi beaucoup de Grecs ; [Celui-là était le Christ.] Et quand Pilate, sur la dénonciation des premiers parmi nous le condamna à la croix, ceux qui l'avaient aimé précédemment ne cessèrent pas. [Car il leur apparut le troisième jour, vivant à nouveau ; les prophètes divins avaient dit ces choses et dix mille autres merveilles à son sujet.] Jusqu'à maintenant encore, le groupe des chrétiens [ainsi nommé après lui] n'a pas disparu. » »

🌐 Testimonium flavianum

Flavius Josèphe évoquait aussi Jésus quand il relatait la mort de Jacques, à l'instigation du grand-prêtre Anân :

« Comme Annan était tel et qu'il croyait avoir une occasion favorable parce que Festus était mort et Albinus encore en route, il réunit un sanhédrin, traduit devant lui Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d'avoir transgressé la loi, et il les fit lapider. »

Flavius Josèphe - 🌐 Antiquités judaïques, 20, 200 - Testimonium flavianum


Dans une lettre à Trajan en 111 ou 112, Pline le Jeune demande à l'empereur la conduite à tenir à l'égard des premiers chrétiens de Bithynie. Il y est écrit :

« ils s'assemblent, à jour marqué, avant le lever du soleil ; ils chantaient tour à tour des hymnes à la louange du Christ, comme en l'honneur d'un dieu ; ils s'engageaient par serment, non à quelque crime, mais à ne point commettre de vol, de brigandage, d'adultère, à ne point manquer à leur promesse, à ne point nier un dépôt ; après cela, ils avaient coutume de se séparer, et se rassemblent de nouveau pour manger des mets communs et innocents. »

Pline le jeune - Lettre 96 (97) du livre X de sa correspondance + 🌐


Dans les Annales de l'historien romain Tacite, écrites vers 116, un passage relate la mise en cause des chrétiens lors de l'incendie de Rome en 64. Néanmoins, le passage en question n'a été découvert qu'en 1429 par le secrétaire pontifical Poggio Bracciolini et certains auteurs ont mis son authenticité en doute ; il est par contre aujourd'hui considéré comme authentique par les historiens (🌐)

« Mais aucun moyen humain, ni largesses impériales, ni cérémonies expiatoires ne faisaient taire le cri public qui accusait Néron d'avoir ordonné l'incendie. Pour apaiser ces rumeurs, il offrit d'autres coupables, et fit souffrir les tortures les plus raffinées à une classe d'hommes détestés pour leurs abominations et que le vulgaire appelait chrétiens. Ce nom leur vient de Christ, qui, sous Tibère, fut livré au supplice par le procurateur Ponce Pilate. Réprimée un instant, cette exécrable superstition se débordait de nouveau, non seulement dans la Judée, où elle avait sa source, mais dans Rome même, où tout ce que le monde enferme d'infamies et d'horreurs afflue et trouve des partisans. On saisit d'abord ceux qui avouent leur secte ; et, sur leurs révélations, une infinité d'autres, qui furent bien moins convaincus d'incendie que de haine pour le genre humain. On fit de leurs supplices un divertissement : les uns, couverts de peaux de bêtes, périssent dévorés par des chiens ; d'autres mouraient sur des croix, ou bien ils étaient enduits de matières inflammables, et, quand le jour cessait de luire, on les brûlait en place de flambeaux. Néron prêtait ses jardins pour ce spectacle, et donnait en même temps des jeux au Cirque, où tantôt il se mêlait au peuple en habit de cocher, et tantôt conduisait un char. Aussi, quoique ces hommes fussent coupables et eussent mérité les dernières rigueurs, les cœurs s'ouvraient à la compassion, en pensant que ce n'était pas au bien public, mais à la cruauté d'un seul, qu'ils étaient immolés. »

Tacite - Annales (vers l'an 100), livre 15 (sur 18), chapitre 44


Dans ses Vies des douze Césars, vers 120, Suétone écrit :

« [Claude] chassa de la ville les juifs qui se soulevaient sans cesse à l'instigation d'un certain Chrestus ».

Suétone - Vies des douze Césars / Vie de Néron, XVI, 3

Cette opération se passe en 50, environ vingt ans après la mort de Jésus. « Christus » et « Chrestos » sont deux mots différents, l'un signifiant « l'oint » (désignant une personne consacrée), l'autre se traduisant par « le bon » et faisant parfois office de nom propre. Suétone mentionne ici les « juifs » alors qu'il mentionne les « chrétiens » dans le livre sur la vie de Néron : « [Néron] livra aux supplices les chrétiens, race adonnée à une superstition nouvelle et coupable.» (🌐)


Celse, philosophe païen et anti-chrétien du IIe siècle, auteur du Discours véritable, rapporte les propos d'un juif érudit selon lesquels Jésus serait le fils illégitime d'un soldat romain, Pantera :

« La mère de Jésus a été chassée par le charpentier qui l'avait demandée en mariage, pour avoir été convaincue d'adultère et être devenue enceinte des œuvres d'un soldat romain nommé Panthera. Séparée de son époux, elle donna naissance à Jésus, un bâtard. La famille étant pauvre, Jésus fut envoyé chercher du travail en Égypte ; et lorsqu'il y fut, il y acquit certains pouvoirs magiques que les Égyptiens se vantaient de posséder »

Celse est cité par Origène, dans Contre Celse, livre I - (🌐)

On lit sur le Figaro :

« Même le philosophe platonicien Celse (IIe siècle), violent polémiste qui haïssait le Christ, ne contestait nullement son existence. »

Figaro/Vox

D'ailleurs cet article rajoute ceci :

FIGAROVOX. - La fête de Noël célèbre la nativité de Jésus. L'existence historique de Jésus est-elle avérée?

Jean-Christian PETITFILS. - L'existence au Ier siècle de notre ère d'un rabbi juif nommé Ieschoua (Jésus) - contraction de Yehoshoua' (Josué), «Dieu sauve» -, qui attirait les foules par son charisme et son enseignement, et sa crucifixion à Jérusalem par ordre de Ponce Pilate, préfet de Judée de 26 à 36, à la demande des grands prêtres Hanne et de son gendre Joseph dit Caïphe, ne posent aucun problème aux historiens.

Son existence se trouve attestée par plusieurs auteurs extérieurs au christianisme, indépendamment des sources chrétiennes [...]

Figaro/Vox


Mara bar Sérapion

Une lettre d'un stoïcien nommé Mara bar Sérapion, adressée en syriaque à son fils, parle d'un « sage roi » exécuté par les siens - les Juifs - à l'instar de Socrate et Pythagore, dans ce qui est accepté comme une allusion à Jésus de Nazareth.

« Que devons-nous dire quand les sages sont conduits de force par des tyrans ? [...] Quel bénéfice les Athéniens ont-ils tiré de la mise à mort de Socrate, vu qu'ils ont reçu comme rétribution la famine et la peste ? Ou les habitants de Samos en brûlant Pythagore, vu qu'en une heure tout leur pays a été couvert de sable ? Ou les Juifs du meurtre de leur roi sage, vu que de ce moment même ils ont été privés de leur royaume ? Car Dieu a vengé avec justice la sagesse des trois : les Athéniens sont morts de famine ; les habitants de Samos ont été irrémédiablement recouverts par la mer ; et les Juifs, livrés à la désolation, expulsés de leur royaume, sont dispersés dans tous les pays. Socrate n'est pas mort, grâce à Platon ; Pythagore non plus, grâce à la statue d'Héra ; et le roi sage non plus, grâce aux nouvelles lois qu'il a établies. »

Ce texte énigmatique a été très diversement interprété. L'auteur se réfère principalement à la culture grecque : en plus de Socrate et Pythagore, il est question de Darius, Polycrate, Achille, Agamemnon, Priam, Archimède et Palamède. Quant au « roi sage » des Juifs qui a été mis à mort, mais a laissé des lois, il n'est pas nommé, mais ce paraît bien être Jésus le Nazôréen, évoqué dans des termes non chrétiens. (🌐)

Si la recherche s'accorde pour le dater d'après 73, la datation du document est fort débattue, pouvant aller jusqu'à l'aube du Ve siècle, avec une majorité de chercheurs inclinant pour une rédaction au cours du IIe siècle. Le document renseigne, en tout état de cause, davantage sur le christianisme que sur Jésus tandis que son implication des Juifs est, au mieux, douteuse et elle s'inscrit dans une démonstration plus générale. (🌐)


Ecrivain grec satirique. Il parle de Christ comme :

« Celui qui est honoré en Palestine, où il fut mis en croix pour avoir introduit ce nouveau culte parmi les hommes... Le premier législateur [des chrétiens] les a encore persuadés qu'ils sont tous frères. Dès qu'ils ont une fois changé de culte, ils renoncent aux dieux des Grecs, et adorent le sophiste crucifié dont ils suivent les lois.»

Mort de Pérégrinus, paragraphe 11-13

 

Le Talmud

Le Talmud fait référence à un certain Yeshu. Depuis le Moyen Âge, on rencontre un Yeshu ou Yeshu Hanotsri (le Nazaréen) dans les Toledot Yeshu, écrites au XIe siècle et qui reflètent l'antagoniste des communautés chrétiennes et juives à cette époque. Tandis qu'on rencontre un Yeshu (compris comme nom de Jésus en hébreu tardif) et les deux personnages ont été identifiés comme identiques. Cependant, des indices peuvent laisser penser que le Yeshu des Toledoth Yeshu et celui du Talmud n'ont pas de rapport ensemble. En revanche, Joseph Klausner trouve fiable le rapprochement du Yeshu du Talmud avec le personnage de Jésus.

Le texte le plus intéressant est le suivant[non neutre] (Talmud de Babylone, Sanhedrin 43a) :

« La tradition rapporte : la veille de la Pâque, on a pendu Yeshu. Un héraut marcha devant lui durant quarante jours disant : il sera lapidé parce qu’il a pratiqué la magie et trompé et égaré Israël. Que ceux qui connaissent le moyen de le défendre viennent et témoignent en sa faveur. Mais on ne trouva personne qui témoignât en sa faveur et donc on le pendit la veille de la Pâque. Ulla dit : — Croyez-vous que Yeshu (dans les éditions plus tardives - Yeshu Hanotsri) était de ceux dont on recherche ce qui peut leur être à décharge ? C'était un séducteur ! et la Torah dit : tu ne l'épargneras pas et tu ne l'excuseras pas (Deutéronome 13,9)… Une tradition rapporte : Yeshu avait cinq disciples, Mattai, Naqi, Netser, Boni et Todah ».



Talmud - Talmud de Babylone, Sanhedrin 43a

L'institut d'étude du Judaïsme, évoque l’historicité de Jésus. En citant le fameux Testimonium Flavianum de Flavius Josèphe : L’historicité de Jésus : le Testimonium Flavianum

Jésus est bien mentionné dans le Talmud. Bien que l'image de Jésus soit présenté sous un angle volontairement négatif, le monde juif, ne remet pas en cause son historicité. Cairn.info

 

Encyclopédie Britannica, 15ème édition

A propos des témoignages indépendants concernant Jésus :

"Ces témoignages indépendants prouvent que dans les siècles passés, même les opposants au christianisme n'ont jamais douté de l'historicité de Jésus. Celle-ci a été remise en question pour la première fois, sur des bases inadéquates, par plusieurs auteurs à la fin du 18ème, durant le 19ème et au début du 20ème."

La Grande Encyclopédie Larousse

  • Les documents non chrétiens sur Jésus de Nazareth sont peu nombreux ; il en va de même pour la plupart des fondateurs de religion, Moïse, Bouddha ou Mahomet. Ils existent cependant et suffisent pour rassurer les esprits qui sont portés à leur accorder plus de valeur qu’aux documents chrétiens : les historiens sérieux sont unanimes à affirmer sans hésitation que Jésus a bien existé. Trois auteurs latins mentionnent indirectement l’existence de Jésus, sans fournir d’autre précision que sa crucifixion sous l’empereur Tibère ; ainsi, en plus de Suétone (en 120), Pline le Jeune signale dans une lettre à l’empereur Trajan (en 110) que les chrétiens « chantent des hymnes au Christ comme à un dieu », et l’historien Tacite (en 116) dit à leur propos : « Ce nom leur vient de Christ, qui avait été, sous le règne de Tibère, livré au supplice par Ponce Pilate » (Annales, XV, 44). Du côté de la littérature juive, on ne peut rien tirer des textes talmudiques, légendaires ; par contre, en 93, l’historien Flavius Josèphe (37-97) raconte le martyre de Jacques, « un frère de ce Jésus qu’on appelle le Christ » (Antiquités juives, XX, 200), et, dans un texte qui, par la suite, a été surchargé par les chrétiens de notations apologétiques, mais dont on a pu reconstituer l’original, il rapporte que Jésus a groupé des disciples et que ceux-ci disent l’avoir vu vivant après sa mort.

    Grande encyclopédie Larousse (1971) Tome 11 sur 2°, page 6048

 

 

🗝️ Secrets d'histoire

L'historicité de Jésus est reconnu par les historiens. Secrets d'histoire, qui est une émissions consacrées à l'histoire fait état de l'historicité de Jésus :

Pourquoi Jésus ?
Parce que c’est un personnage historique. Nul ne conteste qu’un homme prénommé Jésus est apparu en Galilée, à Nazareth et qu’après un parcours hallucinant, il a été condamné par le préfet Ponce Pilate à mourir sur la Croix. Était-il un prophète, un illuminé, un guérisseur fou ? Chacun est libre de penser ce qu’il veut mais l’existence de Jésus n’est pas remise en cause par les historiens. Ce fait historique, traité dans Secrets d'histoire, nous avons choisi de le prolonger et de voir comment le message de cet homme mort sur le mont du Golgotha avait provoqué une onde de choc à travers le monde entier et en France en particulier.

France TV - Secrets d'histoire

 

La page Wikipédia consacrée à l'émission Secrets d'histoire :

Wikipédia / Secrets d'Histoire / Historique des sujets traités

Certains personnages historiques ont fait l'objet de plusieurs émissions. C'est le cas de Louis XIV et [[Napoléon Ier| Modèle:Napoléon Ier]] qui ont été le sujet de trois émissions. Par ailleurs, deux émissions ont été consacrées respectivement à Cléopâtre, Jeanne d'Arc, Molière, Madame de Pompadour, Casanova, Mozart, Élisabeth en Bavière (Sissi), Louis II de Bavière et Jésus.



Même si l'Antiquité ne fait pas partie des périodes les plus représentées dans l'émission, des numéros sont consacrés régulièrement à des personnages de cette période (Alexandre le Grand, Jules César, Cléopâtre, Agrippine, Néron, Jésus, Judas, Néfertiti, Toutânkhamon).

🌐 Wikipédia - Secrets d'histoire

Stephane Bern, émission audio :

Mais ce qui est intéressant, il y a le Jésus religieux, il y a et le Jésus historique. Et des miracles sont attestés, vraiment [...] un historien sérieux du premier siècle, Flavius Josèphe [...] atteste aussi de l'existence de Jésus.

Europe1 / Jésus-Christ (récit de Stéphane Bern) / à 03m13s

 

▯ National Geographic

L'historicité de Jésus est aussi reconnu par les archéologues

La véritable histoire de Jésus : ce que révèle l'archéologie

La majorité des archéologues ne doute plus de l’existence du  personnage  historique  de  Jésus.

▯ https://www.nationalgeographic.fr/histoire/la-veritable-histoire-de-jesus-ce-que-revele-larcheologie